Danse au Festival d’Avignon : la prise de risque face à l’efficacité de la simplicité

À l’occasion du premier week-end de festival à Avignon, les amateurs de danse se sont vu offrir, dimanche 10 juillet, une variété de propositions dans lesquelles l’intention de bousculer n’a pas su s’imposer devant l’épuration de concepts.

Dans le cadre de la série 1 de l’exercice d’écriture Vive le Sujet !, proposé à huit auteurs et autrices par le Festival d’Avignon et la SACD, Ludmilla Dabo et Mellina Boubetra présentaient respectivement Ce n’est qu’une histoire de balances et NYST. Les deux artistes se sont vu offrir la possibilité de créer tout spécialement une performance à destination du public avignonnais, avec pour seule contrainte de faire appel à deux acolytes.

Et c’est le déséquilibre qui a intéressé Ludmilla Dabo, artiste associée à la comédie de Caen, qu’il soit littéral, sous forme de portés à bout de jambes inspirés du cirque, ou bien mental, en allant plonger dans les rouages de son propre fonctionnement psychologique ou celui de ses partenaires de création. En faisant dialoguer les disciplines du tissu aérien, du beatbox et du théâtre, la metteuse en scène a tenté…

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